cé tres scientifique, ça! lol en tout cas, j'y avais jamais pensé. Ouais je suis a moitié daccord avec toi, parce que on est tous différent et tous unique, alors kan tu dis ke kan on dit un truc méchant d'une personne on le dit a nous-même, euh...moué chui pa tro daccord, mais par contre, la fin, je suis daccord. chacun son avis! ^_^

Je crois que ce que dit Ollie rejoint, dans une certaine mesure, la parabole de la paille et de la poutre: critiquer l'autre (rappelons-nous que la critique peut être positive) est plus aisé que se pencher sur soi. Il est plus facile de trouver la faille, le défaut de l'autre (la paille) que s'avouer ses propres défauts (la poutre). Ainsi, si notre principal défaut est la paresse, nous sommes plus enclins à la critiquer lorsqu'elle transparaît chez les autres, car elle nous est à la fois familière et repoussante.

Je suis OK avec ce que tu dis. Quand tu penses à quelqu'un  ... c'est pas forcément que cette personne t'a blessée, mais peut être que tu as peur d'être comme elle. En ce qui me concerne, c'est un peu comme si c'était un miroir inversé, un double "négatif". parce que les gens dont tu te fous, et que tu trouves cons... ben, ils ne te ressemblent pas !! Ok, je fais de la pseudo-philosophie...

 comme disait Sartre, lorsque l'on forme des pensées sur les autres, cela peut aussi être les "attaquer". Ce que mon prof de philo de Terminale disait aussi, c'est que lorsque l'on croit haïr une personne... parfois, c'est de l'amour déguisé !! Nier l'existence de quelqu'un ,cela peut en réalité être un désir inavoué....

Voilà, j'ai terminé mes élucubrations philosophico-sentimentalo-mystiques.

Biz, Emma.